GRAPE JUICE ZGAR ICE BOX 8000 Vape jetable 8K Puffs 18ML #8

Le Cambodge rejette l'investissement dans une usine de cigarettes électroniques

Le Cambodge a adopté une position ferme à l'égard de l'industrie florissante de l'e-cigarette. Le Premier ministre Hun Manet a annoncé le 5 mai que le gouvernement avait rejeté une proposition d'investissement étranger visant à établir une usine de production d'e-cigarettes dans le pays. Cette décision souligne l'interdiction globale de toute forme d'investissement dans la fabrication d'e-cigarettes, même si les produits sont destinés uniquement aux marchés d'exportation.

Ce geste décisif a été souligné lors de la cérémonie de lancement du “Plan national de lutte contre le cancer 2025-2030”. L'annonce du Premier ministre envoie un message clair sur les priorités du pays en matière de santé publique et sur sa vision du rôle des produits de vapotage dans son avenir économique.

Un “non” ferme à la fabrication de cigarettes électroniques

Le Premier ministre Hun Manet a expliqué qu'un fonctionnaire étranger avait récemment approché le ministre du Commerce, Cham Nimul, pour lui proposer de construire une usine d'e-cigarettes au Cambodge. Le gouvernement cambodgien a rapidement rejeté cette demande d'investissement.

“Nous avons beaucoup d'autres options d'investissement”, a déclaré Hun Manet, soulignant que l'économie du pays ne serait pas affectée par l'interdiction de la production d'e-cigarettes. “Nous accueillons tous les investissements légaux et conformes, mais les e-cigarettes n'en font pas partie.”

Cette déclaration indique une orientation politique claire, faisant la distinction entre les investissements étrangers souhaitables qui s'alignent sur les objectifs de développement national et ceux qui sont perçus comme préjudiciables à la santé publique. En renonçant aux gains économiques potentiels de la fabrication d'e-cigarettes, le gouvernement donne la priorité au bien-être à long terme de ses citoyens. Cette politique renforce l'interdiction en vigueur depuis 2014, qui prohibe déjà l'importation, la vente et l'utilisation d'e-cigarettes, de shisha et de produits du tabac chauffés (HTP).

Le vapotage chez les jeunes suscite de plus en plus d'inquiétudes

L'un des principaux moteurs de cette politique résolue est l'inquiétude croissante suscitée par la popularité grandissante des e-cigarettes chez les jeunes, en particulier chez les étudiants. Le Premier ministre a exprimé son inquiétude face à cette tendance, qu'il considère comme une dangereuse distraction par rapport au développement académique et personnel.

“Les e-cigarettes ne sont pas un outil pour avoir l'air cool”, a-t-il averti. “Les étudiants devraient se mesurer sur la base de leurs notes et de leurs résultats aux examens d'entrée à l'université, et non en fonction de l'usage qu'ils font de l'e-cigarette.”

Dans cette perspective, le vapotage n'est pas seulement un problème de santé, mais aussi un problème de société qui détourne les jeunes du pays de leurs activités productives. Le Premier ministre a demandé aux autorités compétentes d'intensifier les efforts de réglementation, de contrôler strictement la circulation et l'utilisation des e-cigarettes, et d'inciter les jeunes à éviter ces produits pour se concentrer sur leurs études et adopter un mode de vie sain.

L'action du gouvernement reflète une conversation mondiale sur l'impact du vapotage sur les mineurs. Alors qu'elle est souvent présentée comme une alternative moins nocive pour les fumeurs adultes, l'attrait des e-cigarettes aromatisées pour les jeunes non-fumeurs a suscité l'inquiétude des responsables de la santé dans le monde entier. La position définitive du Cambodge le place parmi les pays qui prennent les mesures les plus strictes pour empêcher une nouvelle génération de devenir dépendante de la nicotine.

Une vue d'ensemble

La décision du Cambodge ne concerne pas qu'une seule usine ; il s'agit d'une déclaration de ses valeurs en matière de santé publique. En rejetant l'investissement, le gouvernement renforce son engagement à prévenir les crises sanitaires potentielles associées à une dépendance généralisée à la nicotine. Cette décision s'aligne sur les objectifs du nouveau plan national de lutte contre le cancer et témoigne d'une approche proactive de la santé publique plutôt que réactive.

Pour l'industrie internationale de la vape, il s'agit d'un indicateur clair que le Cambodge n'est pas un marché ouvert ou une plaque tournante potentielle pour la fabrication. Pour les défenseurs de la santé publique, il s'agit d'un bon exemple d'un gouvernement qui place le bien-être des citoyens au-dessus d'opportunités économiques potentielles, mais problématiques.

Un projet de loi américain vise à détruire les vapes illégales en provenance de Chine
Le Cambodge interdit les e-cigarettes et le narguilé à l'échelle nationale

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Mon panier
Liste de souhaits
Vu Récemment
Catégories
Sélectionnez votre devise